www.Speed-Slicks.com

Une fois n'est pas coutume c'est vu par un élément extérieur aux rouleurs que ce cr commencera,
n'étant pas très actif sur votre forum je vais me (re)présenté je suis (injustement) nommé "junior" petit frère de blz
Arrivés le jeudi en fin de journée à bord du bus flambant neuf du poul breizh nous nous repérons à l'odeur de friture pour retrouver le fat team et leur fat truck (odeur que nous avons commencée à percevoir depuis bordeaux)
Une fois le protocole des bisous bisous et autres flatteries
Nous attaquons les hostilités
petit apéro bien plin' qui c'est vite transformé en binge drinking d'ados prépubers
les cantalous nous initie (avec plus ou moins de succès) au "ricard wawa" sorte de cocktail aseptisés à la menthe et au ghb
le final fut volcanesque pour certains
Puis tout le monde au lit en slalomant entre les innombrables renards lachés par certains pilotes des deux camps


1ere journée d'essai
petit déjeuner nous devons empêché chafafat de mettre en route sa plancha car le boulanger qui nous livre en croissants et chocolatines (5 de chaque par personne) se fait attendre; il a eu environ 4mn de retard
on peut rire de tout sauf de ça avec le fat team
les essais libres commencent
Mais le régleur en chef partie cycle de la fat team qui nous a promis monts et merveilles la veille demeure aux abonnés absents, une petite indigestion de la veille (ingestion qui durera tout de meme 24h non stop ) le cloue au lit toute la journée
les deux team s'en sortent sans lui et commencent à se faire des premières sensations avec leurs machines
respectives et peuvent commencer à jauger leur futurs adversaires tout se passe pour le mieux et je commence à maîtriser mon derrick à la perfection

soirée crêpes
nous sommes rejoint par les parents de kerozen et par nico (le jean todd des deux team)
"lakish" reprend des couleurs et commence à déchirer des crêpes complètes, cela rassure blz qui a été à son chevet durant toute sa convalescence
Au lit après la lecture de la chronique satirique journalière que je me suis attelé à composer sur chacun des membres.
la maison d’édition de chafafat est en train de les développer si cela vous intéresse

journée qualif
chute d'un des participants des 6h durant le tour de chauffe ( il a fait humide durant la nuit)
l’équipe de la fat team se classe 11 eme sur la grille de départ
Le poul breizh une honorable 28 places
mention spéciale à rahan avec ses 2mn15 en meilleur temps nous verrons par la suite que nos moqueries
comme quoi rahan roulerait plus vite en bus qu'en moto sont totalement calomnieuses

Les motos sont prêtes, les ravitailleurs, pompiers, mécanos, pannoteuses sont brieffés
il n'y a plu qu'à mettre la graisse
on fête "gentiment" les 34 bougies de chaffafat (et les 34 kilos de surcharge qu'il a pris depuis sont adhésion dans la team)
tout le monde par se coucher avant le grand jour tandis que je m’éclipse en douce avec la servante mettre quelques petits coups de tournevis afin de "parachever" les réglages des motos adverses

jour j
la pluie c'est invitée au rdv durant la nuit et une partie de la matinée, la piste est détrempée
nous installons les deux mobs dans le box et mettons en place tout le mathos
les pilotes se creusent la tête pour savoir quelle stratégie adopter, gommes slick ou gommes pluie
se sera slick pour la fat team
et pluie pour le poul breizh
c'est déjà l'heure du départ pour les deux pilotes réquisitionnés, en l’occurrence youl et flammenkich
youl nous gratifie d'un superbe depart et arrive à se hisser 16 ème
lakish, lui, roule sur des oeufs et intelligemment
une heure passe et la piste commence à sécher, vomito commence à sortir les dents et commence à faire tomber le chrono en 1mn 50 regul'
Jean todd décide de faire rentrer youl pour un ravitallo, un changement de gommes (régime slicks) et de pilotes, Rahan est le suivant sur la liste
il ira chercher après quelques tours le 1mn 50 de regul'
premier ravitaillement éclair les pneus sont montés très rapidement tout le monde se congratule
laguiche lui, sort au bout d'une heure vingt de roulage ses chronos sont en 1mn 44 regul' la piste est quasi sèche,
il était temps qu'il sorte je m'aperçoit que les 19 litres du derrick remplissent à peine le réservoir de l'ensileuse 41
chaffafat part chaud comme un caca
les temps sont bons un petit 1mn 43 en regul' chaffafat remonte le classement tel une 103 sp kittée 80
La mécanique semble se roder pour le deuxieme ravitaillement tout le monde est à sa place, les panneauteuses remontent les informations comme des tatoos, nous sommes au top
manu s'installe au guidon de la moto 15 et part sur un petit 1mn 48 en regul'
le gros sort à son tour, du beurre suinte de sa combard, et laisse la place à blz qui se loche en 1'42 43 en regul' parfait, les places continuent de tomber
le soleil fait une timide apparition au dessus du circuit (Gillot Petré fait même de l'humour de là-haut)
la course se déroule bien pour nous, on compte par contre 9 abandons
manu commence à regagner du terrain et se place en 24 ème position avant le ravitaillement
youl repart donc pour un tour
ensuite vient le tour de laguiche
ensuite vient le tour de rahan
ensuite
pas de problèmes tout se passe comme sur des roulettes
sauf sur la fin ou le gros fabt (la fatigue surement) ne distingue pas les panneauteuses sur leur perchoirs parmi les 15000 spectateurs présents pour cet évènement
et sort à un tour d’écart de rahan
grosse frayeur, mais les ravitailleurs sont expérimentés et remplissent leur derrick en un temps record tout en "respectant" le protocole
la course se termine
poul breizh 21
fat team 8 ??!!!? what the fuck
conclusion, DCF, super ambiance, tout le monde a pris du plaisir pas de casse
parfait nous terminons ce weekend comme il a commencé "ricard wawa" et grands discours sur n'importe quoi

à l'année prochaine!!!
kenavo

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la graisse... c´est la moitié de la vitesse

felicitations les gras.

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geriateam legend car 2012

Quel imprésario
Junior président !

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Fifty two represent !

moins les coquilles, je plaide la fatigue

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la graisse... c´est la moitié de la vitesse

Bien vu Junior aka Baudeglaires, tu régales avec ton teaser de haute volée
La suite bientôt

un week end bonne bourre ça, féloches pour les chronos les gras

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adepte de la technique du "merd-merd-merd"!

Junior aka baudelaire aka surcharge aka nauch ... tu régales !
La suite sous peu et d'ici longtemps un CR video

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On est pas venu là déguisés en feuille de choux pour se faire bouffer le cul par les lapins

Merci pour le c.r. nauchman, en attendant les autres....et féloche pour ce week-end grassement mené . Je devais passer en spectateur mais finalement j'ai eu la flemme , cerise sur le gateau ,j'ai , du coup , raté le podium du pote en 2 soupapes

Bon ça les gars (gras)!!!

Une première réussie

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"Le chrono ne ment pas..." Steven Casaer

De l’intérêt de rouler en twin poussif !!!

Préface:
Fat team vs Poul Breizh : concours de bouers

Préambule:

Je me revois il y a un an jour pour jour, je venais de réceptionner mon tracteur flambant dans les paddocks de Nogaro, alors que j’aidais alors le Poul Breizh endurance team en tant que ravitailleur sur l’endurance DCF des 6 heures de Nogaro.
Fier comme si j’avais un bar-tabac, j’enquillais alors quelques tours de paddocks pour faire admirer ma belle !
C’est ainsi que l’idée selon laquelle j’allais participer à l’édition de l’année suivante ne mit que quelques centièmes de secondes à germer dans ma caboche.
Mais pour ceci, il fallut que j’use de vilains subterfuges et autres maliceries afin de motiver (saoûler ?) mes troupes pendant une année durant.

Moult péripéties mécaniques et autre chute ayant égayées notre morne hiver, nous nous retrouvons un an plus tard à l’orée d’une aventure qu’ils nous tardent de pouvoir entamer.

Jeudi soir :

Apres avoir fini la prépa de ma mémère, qui mécaniquement ne souffre d’aucun reproche, mais à contrario d’un point de vue esthétique me vaut la goguenardise de tous mes camarades, c’est justement bien entamé que nous finissons le premier soir…
Y’a pas, tu mets un concentré de celtes et un zest de bougnats dans un shaker, tu en ressors un cocktail qui n’est pas évident à digérer. Les conversations fusent et restent très axées ducaca-dupipi au grand dam d’une majorité du paddock.
Bref, un épisode sur lequel je ne reviendrai pas, tellement il a déjà été narré par mes compères.
Enfin, toujours est il qu’au réveil, j’en ai des courbatures aux abdos tellement j’ai ri !

Vendredi : essais libres :

Et c’est justement à l’heure d’un réveil embrumé, qu’il faut aller se ravitailler en séances d’essais libres.
Le cantalou, tel Vercingétorix lors du siège d’Alésia nous déverse déjà, du faîte de ses machicoulis, du Captain Igloo à la pelle.
Son siège durera douze heures avant qu’il ne rende les armes, faute de munitions.
Les séances d’essais libres se déroulent sans encombre, le RSV rendant pourtant une dizaine d’années et quelques bonnes dizaines de poneys aux machines les plus affutées du paddocks, je trouve qu’au niveau moteur, si l’on rentre bien dans la cassure de la ligne droite de l’aérodrome on ne se fait pas trop trop pourrir.
Par contre niveau chassis, ça va vraiment pas...Le sabot frotte par terre, ça bouge pas mal à l’accel et ça balaye au freinage. Les réglages sont à revoir, enfin c’est surtout mon seul co-équipier du jour qui me fait ses retours sur le chassis. De mon côté je suis tellement une huitre du Belon en ressenti, que je m’en remets à ses impressions.
Nous nous rendons donc alors, remarques en tête, au chevet de docteur es suspensions qui, dans un dernier râle, nous confie ses instructions.
Bien en a fait !
La moto est transformée et les réglages validés !

Soirée Krampouz :

Le soir venu, l'attention de l'assistance se concentre sur la bilig à la marque de renommée internationale : "Krampouz". Dj Manu y donne de sa personne, oeuvre aux platines et manie sa rosell façon scratch à la perfection. Il s'attire ainsi l'admiration des groupies les plus réticents et fait danser un tumultueux dance-floor au son de plinn et de gavottes endiablés. L'assemblée est totalement acquise à la cause bretonne et j'entends même quelques bribes de conversation de ma langue maternelle.
C'est alors que je choisis ce moment pour relancer mon percheron de poulain dans le bain. Cependant, point besoin d'insister, apres avoir ingurgité deux complètes, de l'oeil vitreux observé le long de ce vendredi saint de jeûn, je vois (re-)naître l'eye of the tiger. S.Stallone n'a qu'à bien se tenir, le gaillard a de nouveau faim !
C'est de cette manière que j'apprendrai qu'un cantalou, tel un ersatz de phoenix, pouvait renaître de sa gerbe...
Les khalifs du lendemain se présente alors sous les meilleurs hospices.

Samedi :

Matinal comme à mon habitude, c'est à une place de choix que j'observe le paddock émerger. J'aime cette ambiance ou l'on sent inexorablement monter cette pression positive que l'on a à l'approche de certains événements. Ni crainte, ni stress, juste une envie et une certaine impatience qui font que l'on désire en découdre rapidement.
Je suis donc le premier à me lancer pour ma séance de vingt minutes de qualifs. Il a plu durant la nuit, ce qui a rendu la piste très piégeuse. Le RSV est chaussé d'un slick à l'avant et d'un power one récupéré à la mode gitous d'une poubelle dégueulante quelques semaines auparavant. Pas de quoi mettre en confiance le païlote...Et en effet je ne fais pas le mariolle sous mon casque lorqu'il s'agit de s'élancer.
Je me met alors en mode TLB tout en me répétant que c'est le meilleur temps des trois pilotes qui sera au final retenu pour élaborer la grille de départ.
Mais...le famueux adage..."Restez naturel et roulez au galop" se vérifie quand le N° 7, un ex-coéquiper du poul Breizh et sa 998 me passe.
Je me dis mon p'ti Mc Fly, personne ne peut te traiter de mauviette de la sorte, et décide ainsi de mimétiser Contador et lui prendre la roue. Je serre les fesses et ferme ainsi la porte à la tête de la taupe qui commençait à frapper au portillon, "si ça passe pour lui mon p'ti BLZ, ça passe pour toi". Je claque ainsi un honorable 1'49" qui me place au quatrième rang de ma série de qualif.
Mes deux autres compères profitent de l'amélioration des conditions pour claquer un 1'43" et un 1'42"298 pour Laguiche qui découvre la mob. C'est justement à la fin de cette série qu'il se jeta sur le premier ordinateur venu pour jeter sa horde de vertes sur leboncoin.
Au final, il nous place en onzième position sur la grille de départ.

C'est pas parce qu'on s'e##### qu'on est pas des hommes :

Samedi aprem, c'est le moment d'apprêter les brêles. Tout ce petit monde fourmille et vaque à ses occupations. Plaquettes, pneus pluie, slicks, tout doit être passé en revue.
On met également au point la technique de ravitaillement avec toutes les personnes mises en place. On se prend au jeu.
De leur côté Nico15 aka Jean Todt et Kero rentre à reculons dans la machine des "sous-doués passent leur bac" pour l'épreuve du changement de gommard arrière. Et c'est les joues un peu rosies qu'ils réussissent leur examen avec les félicitations du jury !
La nuit venue, c'est un orage d'un autre monde qui s'abat sur les paddocks. La nuit fut courte pour beaucoup de monde...
Au réveil, on s'affaire pour s'installer dans le box. Vient ensuite la valse à quatre temps des stratégies de gommards, la piste étant détrempée. Avec mes camarades de jeu, coup de poker, on choisit alors de partir en slick quand la très grande majorité choisit de partir en rainuré, une minorité en pluie et une autre en slick.

Procédure de départ, je tiens la brêle pour laguiche, je taille le bout de gras avec la N° 24 des Cantel à ma droite qui s'inquiète de l'excitation de mon pilote. En effet Guillaume, fidèle à lui-meme, saute partout et discute à gauche et à droite avec les autres pilotes. Je le rassure en lui disant qu'il est toujours comme ça, mais mes propos ne semblent pas l'apaiser.
Lakisk me demande de tâter les bridg pour savoir s'ils ont chauffé durant les deux tours de chauffe. Griiiiikkk, ils sont froids...
Coup d'esbrouffe, chacun connaissant la légendaire et rapide mise en température de ces gommards, je lui fais signe du pouce qu'ils sont bouillants !

Ca y est feu, la horde part dans un vrombissement assourdissant. Dans ces conditions particulières, Guillaume nous gratifie d'un premier relai extrêmement intelligent. Il en garde sous la poignée et prend sur lui quand tour à tour beaucoup de pilotes le passent. Chapeau bas, il m'impressionne ! La marque d'une certaine expérience de la piste !
Je le sens tellement bien en piste en 42/43/44 au jeu des dépassements que je décide de ne le panneauter pour ne le sortir qu'au bout d'une heure vingt de relai. On est les derniers à ravitailler...
A peine sorti, je le félicite pour son relai tres appuyé, et c'est au tour de chaff d'entrer en piste. il nous régale également d'un excellent relai avec du 42/43/44 avant qu'il ne commence à manquer de lipides. Il sort, on est 7 !
C'est mon tour ! J'enfourche le tracteur, quand Guillaume me gueule dans le casque que le pneu arrière est déjà bien malade. Vive Bridg me dis-je !
Pas grave, on va se la jouer plus cool. J'enquille un premier tour en 46 avant d'enchainer les 42 quand les commissaires présentent le drapeau du safety car suite à une chute d'un concurrent en 848 qui a curieusement explosé son bras oscillant.
Je me crache alors dans les pognes pour pouvoir passer devant le safety avant qu'il ne rentre en piste. Trop tard, je rentre dans la ferme et il se trouve déjà à l'entrée de l'escargot...
Nous perdons alors un tour sur nos deux adversaires directs sur lesquels je revenais et qui étaient dans le même tour que nous. Mais c'est ça aussi l'endurance, il en faut de la moute.
Je me trouve alors en quatrième position derrière le Pace car, je les double à la sortie du Safety, puis j'ai alors quelques tours clairs avant que les avions de chasse ne me dépassent, le N°4 et sa 999 kitée qui marche velue en tête.
Je décide alors d'emboiter sa roue.
1ere alerte: A l'école ou je me tape une équerre.
2eme alerte : A la sortie du dunlop, re-équerre.
Je suis en 41 mais le pneu arrière ne veut plus suivre l'avant, je rends donc la main avec un peu d'amertume, mais il en va de l'intérêt de l'équipe. Le relai se finira alors en 42/43.
L'equipe s'affaire alors pour ravitailler et changer de gommards. Ils sont tout simplement énormes !
Puis mes deux compères assurent comme des bêtes lors de leurs deux relais respectifs avant que ce ne soit de nouveau mon tour. On est neuvième.
Le pneu avant est déjà complètement poncé et je m'élance sur des oeufs. Dans un excès d'optimisme, je perds l'avant dans l'escargot. NON PAS MAINTENANT ! oufff ça raccroche.
Je rends alors la main, finis mon relai et passe la ligne d'arrivée en passant la N°4 qui avait coupé son effort.
A Y EST ON L'A FAIT !!!
J'irrupte de joie sous le casque, et à voir l'expression des faciès de l'équipe et de mes coéquipiers qui m’accueillent dans le parc fermé c'est la même pour eux !
Ils se sont RE-GA-LES ! D'ailleurs ca m'en donne encore plus de bananes.
Au final on finit huitième dans le même tour que le septième et nous avons réalisés 200 tours.
J'observe le pneu avant, Bridgestone pourrait l'exposer dans le hall d'entrée de leur entreprise tellement il est poncé.
Place ensuite au nawak et à l'apéro à gauche, à droite chez les voisins de paddock. C'est ça aussi la grosse force du DCF, l'ambiance !

Epilogue :
A souder sur la piste en endurance, je me rends compte que ce qui se soudent encore bien plus ce sont les liens qui se créent alors au sein du team. Merci a eux de nous avoir aidé dans cette aventure.
Ayant d'autres projets importants en cours, j'avais décidé de revendre le RSV à la conclusion du DCF afin de faire une pause avec la piste et de rouler à l'occase avec ma meule de salon. A voir...Je me laisse un moment de réflexion...

Merci à toute l'équipe :
Jean-Luc notre pompier
Nauch notre poète ravitailleur
Kero et Nico15 nos mécanos
Florence notre team manager
Sims notre commissaire
Sof', Béa, Elo et Katia nos panneauteuses.
Le Poul Breizh pour leur bonne humeur, leur gentillesse et leur acceuil dans leurs infrastructures.
Et mes deux coéquipiers qui ont été excellents.
Une pensée à Djilo auquel je dédicasse ce CR.

P.S : Kero nous monte un CR vidéo qui illustrera ce week-end fabuleux, stay tuned !

Bravo à toute l'équipe, pilotes, panneauteuse, mécano, cuistos et narrateurs !
Vous avez vécu une belle aventure, comme quoi t'as bien fait de "saoûler" tes troupes BLZ !

dis voir Gérald, pour la suite, c'est comme les Harry Potter, faut attendre la prochaine sortie en salle Mercredi prochain ?

to be continued...

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la graisse... c´est la moitié de la vitesse

Et pourquoi pas un intermède poétique Nauch?
Tu me permettrais de diffuser?

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Fifty two represent !

pourquoi pas...

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la graisse... c´est la moitié de la vitesse